Moines mendiants, les Bauls ne sont ni hindous, ni musulmans, ni bouddhistes, ils invoquent les noms de divinités locales et d'Allah. Leurs chants ont l'air de suggérer, conseiller, prêcher une voie que l'on devine sans pouvoir la cerner car leur langage est fait de symboles et d'évocations. Derrière l'énigme, demeure la recherche de l'état originel de joie que chaque être porte dans son cœur.
Moines mendiants, les Bauls ne sont ni hindous, ni musulmans, ni bouddhistes, ils invoquent les noms de divinités locales et d'Allah. Leurs chants ont l'air de suggérer, conseiller, prêcher une voie que l'on devine sans pouvoir la cerner car leur langage est fait de symboles et d'évocations. Derrière l'énigme, demeure la recherche de l'état originel de joie que chaque être porte dans son cœur.