Une approche surprenante, en version swing, des grands classiques de l’opéra (Rossini, Puccini, Bellini, Tchaïkovski, Massenet, Wagner, Bizet, Offenbach, Prokofiev...) génialement arrangés et interprétés par les solistes de l'Orchestre de Paris et la guitare de Samy Daussat.
Un cocktail de virtuosité et d'émotion, à la croisée de deux mondes.
Illustration de couverture par Joann Sfar.
“À l’écoute de Carmen Café, j'ai bien là un univers totalement inventé… Je n'aurais jamais osé faire un truc pareil, même en rêve ! Pourtant... eh bien c’est là dans vos casques ou sur votre platine-disque, et c’est doux !”
Sanseverino
“À l'opéra vous chantiez ? Eh bien swinguez maintenant !”
Roberto Alagna
Rassemblant quatre musiciens de l’Orchestre de Paris associés à un spécialiste reconnu de la guitare manouche, le projet « Off Swing » a vu le jour en 2016, sous l’impulsion du Off des Musiciens de l’Orchestre de Paris. À l’occasion de « concerts promenades » autour de la musique italienne, au Musée de la Musique de la Philharmonie de Paris, une complicité se tisse entre les cinq partenaires, qui décident immédiatement de prolonger l’aventure. Ils se produisent alors dans plusieurs salles parisiennes (la Petite Halle, la Bellevilloise), ainsi qu’au festival Musique en Ré.
Pour les membres du groupe, le challenge consiste à proposer des adaptations originales dans un esprit « swing » de pièces du répertoire classique qu’ils pratiquent habituellement à l’Orchestre. Pour autant, ils ne conçoivent pas cette rencontre comme une simple « juxtaposition » des deux univers, mais s’attachent au contraire à traquer dans les pièces qu’ils choisissent les connexions et autres enchaînements harmoniques qui vont s’avérer fructueux, susceptibles de développements savoureux et pertinents, souvent propices à l’improvisation et à la spontanéité. Ils parviennent ainsi à débusquer quelques trésors, comme ce parallèle qui s’imposait entre le chœur à bouche fermée de Madame Butterfly et le Tornerai de Dino Olivieri et Nino Rastelli, connu dans l’univers du swing grâce à la reprise de la version française (J’attendrai), concoctée par Django Reinhardt et Stéphane Grappelli.
Influences, suggestions, citations, transferts… autant dire que l’auditeur n’est pas au bout de ses surprises à l’écoute de ce premier album du groupe, consacré aux thèmes d’opéras, tant les « passages » esquissés laissent entrevoir de merveilles insoupçonnées et de lumières purement chatoyantes
Une approche surprenante, en version swing, des grands classiques de l’opéra (Rossini, Puccini, Bellini, Tchaïkovski, Massenet, Wagner, Bizet, Offenbach, Prokofiev...) génialement arrangés et interprétés par les solistes de l'Orchestre de Paris et la guitare de Samy Daussat.
Un cocktail de virtuosité et d'émotion, à la croisée de deux mondes.
Illustration de couverture par Joann Sfar.
“À l’écoute de Carmen Café, j'ai bien là un univers totalement inventé… Je n'aurais jamais osé faire un truc pareil, même en rêve ! Pourtant... eh bien c’est là dans vos casques ou sur votre platine-disque, et c’est doux !”
Sanseverino
“À l'opéra vous chantiez ? Eh bien swinguez maintenant !”
Roberto Alagna
Rassemblant quatre musiciens de l’Orchestre de Paris associés à un spécialiste reconnu de la guitare manouche, le projet « Off Swing » a vu le jour en 2016, sous l’impulsion du Off des Musiciens de l’Orchestre de Paris. À l’occasion de « concerts promenades » autour de la musique italienne, au Musée de la Musique de la Philharmonie de Paris, une complicité se tisse entre les cinq partenaires, qui décident immédiatement de prolonger l’aventure. Ils se produisent alors dans plusieurs salles parisiennes (la Petite Halle, la Bellevilloise), ainsi qu’au festival Musique en Ré.
Pour les membres du groupe, le challenge consiste à proposer des adaptations originales dans un esprit « swing » de pièces du répertoire classique qu’ils pratiquent habituellement à l’Orchestre. Pour autant, ils ne conçoivent pas cette rencontre comme une simple « juxtaposition » des deux univers, mais s’attachent au contraire à traquer dans les pièces qu’ils choisissent les connexions et autres enchaînements harmoniques qui vont s’avérer fructueux, susceptibles de développements savoureux et pertinents, souvent propices à l’improvisation et à la spontanéité. Ils parviennent ainsi à débusquer quelques trésors, comme ce parallèle qui s’imposait entre le chœur à bouche fermée de Madame Butterfly et le Tornerai de Dino Olivieri et Nino Rastelli, connu dans l’univers du swing grâce à la reprise de la version française (J’attendrai), concoctée par Django Reinhardt et Stéphane Grappelli.
Influences, suggestions, citations, transferts… autant dire que l’auditeur n’est pas au bout de ses surprises à l’écoute de ce premier album du groupe, consacré aux thèmes d’opéras, tant les « passages » esquissés laissent entrevoir de merveilles insoupçonnées et de lumières purement chatoyantes