
Marian Iacob Maciuca, c'est l'histoire d'un long voyage, commencé dans un poste de radio à Tulcea en Roumanie. « Ce son chaud du violon, ça te prenait comme une vague et te transportait loin » se souvient-il. Si loin, que l'instrument découvert enfant le fera tanguer des rives du Danube où il est né, jusqu'aux aux bords de Loire, à Nantes, en 1992 aux prémices de l'été. Il y rencontre ses compères de toujours avec lesquels il joue dans Translave, Trio Dobrogea, Jerez-Lecam Ensemble, Çiocan. La qualité de leurs interprétations est comparable aux musiques de chambre et dans leur esprit les textes chantent comme un quatuor de cordes où la puissance populaire de la fête, la joie, la tristesse et la nostalgie des peuples de l'Est est présente comme une danse.
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