Le nouvel album de Maxime Piolot.
Des compositions mélancoliques et optimistes, personnelles et universelles.
Entre réminiscences du passé « Les grandes vacances », l’amour nourri ou épuisé « La femme que j’admire », « Ils se sont aimés », le temps qui va des relations amicales ou familiales « On se retrouvera », « Ta mère t’a porté », Maxime Piolot décore ses textes humanistes d’instruments organiques et chaleureux, dans une veillée rassurante et bienveillante, soignant les blessures, les regrets et les doutes, ou célébrant l’amour, les joies et le plaisir d’être en vie.
Des chansons courtes et limpides, en pas de côté de la fureur du monde, ponctuées par un regard apaisant sur l’éternelle question de la fin.
« Pour la femme que j'admire
Femme du printemps, femme de l'hiver
Si je la perdais, je la retrouverais
Pour la nature qui se fait entendre
Un jour d'innocence où chante le silence
Pour le frère et l'ami qui partagea ma jeunesse
Pour toi qui m'écoutes, inconnu de passage
Et qui ne me sera jamais indifférent »
Maxime Piolot
Le nouvel album de Maxime Piolot.
Des compositions mélancoliques et optimistes, personnelles et universelles.
Entre réminiscences du passé « Les grandes vacances », l’amour nourri ou épuisé « La femme que j’admire », « Ils se sont aimés », le temps qui va des relations amicales ou familiales « On se retrouvera », « Ta mère t’a porté », Maxime Piolot décore ses textes humanistes d’instruments organiques et chaleureux, dans une veillée rassurante et bienveillante, soignant les blessures, les regrets et les doutes, ou célébrant l’amour, les joies et le plaisir d’être en vie.
Des chansons courtes et limpides, en pas de côté de la fureur du monde, ponctuées par un regard apaisant sur l’éternelle question de la fin.
« Pour la femme que j'admire
Femme du printemps, femme de l'hiver
Si je la perdais, je la retrouverais
Pour la nature qui se fait entendre
Un jour d'innocence où chante le silence
Pour le frère et l'ami qui partagea ma jeunesse
Pour toi qui m'écoutes, inconnu de passage
Et qui ne me sera jamais indifférent »
Maxime Piolot