Des pièces grégoriennes inédites de l’époque baroque interprétées par les moniales qui les ont découvertes.
À l’occasion des quatre cents ans de sa fondation, la Congrégation des Bénédictines de Notre-Dame du Calvaire a souhaité donner vie à des musiques inédites conservées dans des manuscrits des XVIIe et XVIIIe siècles dans les bibliothèques de leurs monastères. Pour faire « chanter ces archives », la communauté bénédictine a confié à deux musiciens, Carole Matras et Manolo González, le soin de transcrire ces manuscrits et de guider les sœurs dans l’étude et la restitution de ce chant oublié depuis quatre siècles. L’enregistrement de ces chants est l’aboutissement d’une aventure singulière et riche d’échanges cordiaux entre la communauté et les musiciens.
Des pièces grégoriennes inédites de l’époque baroque interprétées par les moniales qui les ont découvertes.
À l’occasion des quatre cents ans de sa fondation, la Congrégation des Bénédictines de Notre-Dame du Calvaire a souhaité donner vie à des musiques inédites conservées dans des manuscrits des XVIIe et XVIIIe siècles dans les bibliothèques de leurs monastères. Pour faire « chanter ces archives », la communauté bénédictine a confié à deux musiciens, Carole Matras et Manolo González, le soin de transcrire ces manuscrits et de guider les sœurs dans l’étude et la restitution de ce chant oublié depuis quatre siècles. L’enregistrement de ces chants est l’aboutissement d’une aventure singulière et riche d’échanges cordiaux entre la communauté et les musiciens.